Cuften (live)
label :
Planet Phuturedernières dates au Sucre :
La rave a de beaux jours devant elle avec l’arrivée de la tornade Cuften. Viking-geek passionné de machines et de bidouillages sonores, le producteur normand s’amuse à déconstruire l’esthétique rave et les sons old school avec sa vision futuriste et singulière. DJ depuis l’adolescence, Cuften a d’abord commencé dans les free party, avant de collectionner les vieux synthétiseurs et de bricoler ses propres outils de production pour livrer une musique qui vient de ses tripes : spontanée, frontale et 100% analogique, à l’image de ses lives machines qu’il orchestre avec une énergie débordante, camouflé derrière sa chevelure mouvante au gré de ses snares, kicks et drums. Il se fait rapidement une place dans la scène underground parisienne, avec l’appui d’artistes comme Manu Le Malin, Umwelt, 14 Anger et en enflammant les dancefloors des lieux underground les plus prisés de l’hexagone : La Station – gare des Mines, Concrete, Dehors Brut, Kilomètre25, Nexus ou encore Warehouse à Nantes.
Après un premier EP en 2019 sur Tripalium et ‘Canal Energy’ sur Minimum Syndicat, il devient le premier artiste extérieur à signer sur le grand label Planet Phuture, du légendaire Marc Acardipane avec deux EPs ‘Solar Ashes’ et ‘Good Riddance’ à l’esthétique rave et authentique, entre textures abrasives et synthés analogiques old school – dont les artworks sont designés par le grand NumberIII, créateur du logo d’Aphex Twin. Parallèlement, il sortait ‘Cathode Ray Tunes’ sur Diffuse Reality et ‘Dystopian Forces’ sur Kontrakult ainsi qu’un remix du ‘Gardez vos distances’ de Paul Seul (Casual Gabberz).
À l’aube d’un EP sur Astropolis Records, Cuften présente un nouveau live entièrement analogique à la scénographie électrique et immersive avec l’artiste VJ Datatura qui habille la scène de vieilles TV empilées, à mi-chemin entre retro-gaming et âge d’or de l’informatique et d’un mapping laser, qui rend le show unique. Reprenant tous les codes de la rave 90s, cette création explosive, colorée et acide travaillée en résidence à La Carène et au Cargö a déjà conquis les scènes d’Astropolis, du Printemps de Bourges ou des Transmusicales. Un aller simple vers des paysages sonores dystopiques. Féru.e.s de l’esprit rave et des expérimentations, retenez bien ce nom !