Lawrence Le Doux
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HVNX - Le Pacifiquedernières dates au Sucre :
Son nom est progressivement devenu de ceux qu’on évoque avec un respect véritable, débarrassé de toute compassion journalistique ou de culte aveugle de la résistance. Probablement en raison de la place absolument centrale qu’occupe Lawrence Le Doux dans la culture underground bruxelloise depuis bientôt deux décennies.
Associé aux meilleurs labels (de Vlek à Hivern Discs), impliqué dans les projets les plus casse-cou (Baleine 3OOO, pour l’exemple) et surtout situé au carrefour de ce que la musique edgy peut proposer de plus charnel, Lawrence Le Doux incarne aujourd’hui mieux qui quiconque cette beauté belge, ce charme discret mais tenace. A l’image du personnage, débonnaire mais essentiel, la musique de Lawrence Le Doux se pose là, intensément vivante, risquée et humaine.
Son nom est progressivement devenu de ceux qu’on évoque avec un respect véritable, débarrassé de toute compassion journalistique ou de culte aveugle de la résistance. Probablement en raison de la place absolument centrale qu’il occupe dans la culture underground bruxelloise depuis bientôt deux décennies. Associé aux meilleurs labels (de Vlek à Hivern Discs), impliqué dans les projets les plus casse-cou (Baleine 3OOO, pour l’exemple) et surtout situé au carrefour de ce que la musique edgy peut proposer de plus charnel, Lawrence Le Doux incarne aujourd’hui mieux qui quiconque cette beauté belge, ce charme discret mais tenace. A l’image du personnage, débonnaire mais essentiel, la musique de Lawrence Le Doux se pose là, intensément vivante, risquée et humaine.
Son dernier album « Host » (parti d’une bonne blague disent certains) fantasme la mythologie électronique du plat pays. Onirique et visionnaire, il retrace les annales d’une scène imaginaire. Avec l’art et la manière, le producteur s’invente trois décennies surréalistes, entre dub digital, proto-ambient, EBM post-industriel et bande originale d’un documentaire fictif, le délire est total.